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Poème de Erocal
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Ces images m'ont été achetées en exclusivité par le site ...
BDSM ARTWORKS

 
Le Meunier
Le Meunier


Samson le meunier est un vrai colosse,
Aussi laid qu'obèse et gras que hideux,
Son dos s'arrondit d'une énorme bosse
Et son regard glauque est libidineux.
 

Dans son vieux moulin, près de la rivière,
L'eau ne chante plus sur la roue de bois,
Mais à l'intérieur la meule de pierre
Inutilement grince quelquefois.
 

Deux esclaves nus, unis par les chaînes,
Inlassablement font tourner la roue,
Courbés sous le joug auquel les enchaînent
Les fers aux poignets et colliers aux cous.
 

Deux esclaves nus et mâle et femelle,
Peinant au moulin dans un même effort,
Offrent au meunier leurs croupes jumelles
Que vise son fouet, encore et encore.
 

Lorsque le serpent de cuir les agresse,
Leurs plaintes, leurs cris, leurs gémissements,
Amusent Samson dont tremble la graisse
Dans un rire affreux de contentement.
 

Ils sont harassés quand je les découvre,
Pitoyable et nue, tirée par le garde.
Passé l'escalier une porte s'ouvre
Et Samson sourit quand il me regarde,
 

D'un rictus hideux, presque une grimace,
En voyant mon corps déjà enchaîné
Et la nudité de la fille grasse
Punie comme moi et qu'il faut traîner.
 

" Voici deux catins à mettre à l'ouvrage !
Annonce le garde en nous présentant.
Enchaîne les donc à ton attelage
Et fais remuer leurs culs de juments ! 
 

As tu bien dressé la fille et sa lope,
La chienne n'a plus l'air d'être farouche !
Voyons si ton fouet l'a rendue salope,
Je vais lui fourrer ma queue dans la bouche ! "
 
 

Ils rient grassement tandis qu'ils déchaînent
Le couple haletant du terrible joug,
Puis le garde prend la fille et l'entraîne
Vers un vieux divan, tirée par le cou,
 

Le meunier brutal nous lie sans attendre
Ma compagne et moi et sauvagement 
Son fouet vient claquer sur nos fesses tendres
Et claquer encor implacablement.
 
 

De ses hurlements  Samson nous excite,
Comme du bétail, tendues sous l'effort,
A tourner la roue de plus en plus vite,
Poussant sur le joug de plus en plus fort.
 

Nous faisons grincer la meule de pierre
Et à chaque tour, Samson sans faiblir,
Sur nos croupes nues abat sa lanière
Et semble content s'il nous fait gémir.
 

Dans un dernier coup de fouet sur nos fesses,
Voyant son moulin tourner vite et bien,
Le meunier, grognant, enfin nous délaisse
Et va s'avachir auprès du gardien.

Celui-ci tenant fermement la tête
De la fille nue l'oblige à goûter
La verge tendue hors de sa braguette
Et trouve plaisants ses airs dégoûtés.
 
 

L'esclave à genou pleurniche et sanglote,
S'étouffant parfois quand le garde joue
A s'enfoncer tant qu'il heurte sa glotte
Et que quelques pleurs coulent sur ses joues.
 

Devant son mari blême d'impuissance
Misérablement la fille s'efforce
D'offrir au gardien son obéissance,
Lèvres arrondies au gland qui la force.
 

Samson lentement a ouvert son pagne,
Ordonnant au mâle en un geste odieux :
" Mets toi à genou comme ta compagne
Et nous verrons bien qui suce le mieux ! "
 

 L'esclave interdit n'osant pas comprendre,
Le fouet du meunier lui vise les couilles.
Le mâle glapit, blessé au plus tendre
Et servilement, dompté, s'agenouille.
 
 

Pour jouir au mieux de sa déchéance
La main de Samson lui prend les cheveux
Et l'homme en dépit de sa répugnance
Doit ouvrir sa bouche à l'horrible queue.

 

Se faisant sucer comme bon leur semble

Les bourreaux grognant de contentement
Rythment de leurs mains dans un bel ensemble
Des bouches forcées le balancement.
 

Puis Samson lassé de cette caresse
Repousse du pied le mâle à genou.
C'est pour nous punir de notre paresse
Et le bras levé qu'il revient vers nous.
 

Quand son fouet s'abat : "Plus vite pétasses ! "
S'il tombe parfois sur mes reins brisés
C'est plutôt le cul de la fille grasse
A côté de moi qu'il semble viser.
 

Il rit de ses cris pointus de femelle
Quand à chaque tour, cambrée sous les coups
Elle fait trembler ses lourdes mamelles
Implorant pitié et pleurant beaucoup.
 

Puis en s'éloignant Samson nous menace :
" Trottez mes juments, plus vite et plus fort !
Je ferai danser vos culs de feignasses
Si vous ménagez par trop vos efforts. "
 

Aux pieds du divan la fille captive
Assiste effarée à l'humiliation
De son compagnon soumis qui s'active,
A faire au gardien une fellation.
 
 

" Malgré ses grands airs, ricane Samson 
Ce petit pédé semble aimer la bite !
Quand tu jouiras, de toute façon
Mets la lui profond pour qu'il en profite. "
 
 

La main du meunier passe entre les cuisses
De la femme nue, fouillant sans complexe
Ses doigts boudinés cherchent l'orifice
Et l'ayant trouvé y glissent l'index.
 

Il force du doigt la caverne douce,
Y met le majeur puis un autre en plus
Et la fille crie en sentant le pouce
Dans un même temps lui percer l'anus.
 
 

Malgré les sursauts des reins lacérés
Le doigt indiscret viole l'anneau tendre.
" Elle a le con large et le cul serré.
Quelques coups de queue vont le lui détendre. "
 

Ses mains fermement contraignent la fille
A dresser sa croupe offerte et fendue.
Samson a genou entre ses chevilles
Apprête déjà sa verge tendue.
 

Ivre de désir, sans délicatesse,
Il force du gland l'úillet mauve et pale,
Obligeant l'esclave à ouvrir les fesses
Que d'un coup de reins, d'un seul, il empale.
 

Plantée violemment dans l'étroit passage
La queue du meunier, allant et venant
Encule la fille hurlante et saccage
L'anus éclaté à grands mouvements.
 

Le gardien jouit à la scène immonde
Et n'y tenant plus se vide en grognant
Dans la bouche du soumis qu'il inonde
De longs jets de sperme au goût répugnant.
 
 

Avant que Samson, gueulant comme un âne
Ne se cambre aussi, convulsivement,
Forçant un peu plus le cul qu'il profane
Et jouisse enfin, formidablement.
 

Tandis qu'en jurant le garde s'éloigne,
Poussant devant lui le couple affligé.
Enfin rassasié  le meunier empoigne
Le fouet qu'il brandit pour nous corriger
 

Je devrai m'offrir à cette gargouille
Comme ces deux là, malgré sa laideur,
Lui sucer la queue, lui lécher les couilles,
Avaler sans fin sa mâle raideur .
 

Il me tarde que le garde revienne,
Que cessent les coups de fouet sur mon corps,
Je serai soumise et salope et chienne,
Tout ce qu'ils voudront , tout et pire encore.
 

Tout ce qu'ils voudront, mais que les coups cessent,
Qu'ils usent de moi comme d'un jouet
Je leur ouvrirai mon ventre et mes fesses
Tout ce qu'ils voudront, tout mais pas le fouet.
 
 
 

Erocal