La Pensionnaire

 
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Week-end
La Punition
CaresseS
 le dossier de loren

 
 
 
Une main ferme te réveille. Une voix d'homme. Un homme ?
"Debout esclave. Madame t'attends"
Sans trop t'en rendre compte, tu te retrouves assise sur le bord du lit. La barre a été enlevée mais la nuit a laissé tes muscles engourdis. 
"Allez dépêche toi" Quelque chose tire sur ton collier. Tu te dresses, un peu flageolante. Tu ne vois rien. Le bandeau est toujours là. La bâillon boule aussi. Et les menottes. Tu remues tes doigts, bouges les épaules...
Un coup sec sur tes fesses. "En route et lèves tes genoux." Ce qui tire sur ton collier, une laisse ? t'entraîne. Une serrure que l'on déverrouille, une porte que l'on ouvre. 
Il fait froid d'un coup. Mois de mai pourri et dans cette région... 
Un coup sur les mollets, "un peu plus haut, c'est bon pour la circulation" un rire ponctue cette phrase. Tes talons claquent sur le sol d'un couloir ou tu ne sais quoi. Il rit. Soudain tu réalises. Tu es quasiment nue ! La jupe, le chemisier tu n'en sens même plus les lambeaux. Juste ton string et ce collant. Enfin ce qu'il en reste. Et comme pour matérialiser cette découverte, une bourrade te plaque contre un mur.
"T'es une bien jolie poulette toi!" 
Une main de l'homme se pose sur ton sein droit, le serre, son autre main s'insinue entre tes cuisses ... Tu respires son odeur de mâle. Il se colle à toi.
"s'rait dommage de pas en profiter "
Ton esprit chavire, prend peur, crépite d'images. Esclave, prisonnière, soumise, violée...
Agnès ! Non !
Et puis tout s'arrête. Un rire.
Un rire de femme. Oui c'est moi. Dans le salon où tu es arrivée sans t'en rendre compte.
"Bravo Dominique. Belle performance. Elle y a cru.
N'est-ce pas esclave loren ?
A genoux maintenant. Nous avons à parler.
Les cuisses écartées"
Je fais un signe à Dominique. Pour qu'il t'enlève bandeau et menottes. Et le bâillon.
J'aime voir tes yeux lorsqu'il découvre la lumière de nouveau. Pourtant ton maquillage s'est étalé. Des larmes ? Ta bouche rouge encore déformé par le bâillon, tes mains qui frottent tes poignets rougis par l'acier... tu n'as pas le droit de faire cela, mais tu ne le sais pas encore.
Le bâillon enfin. Un haut le coeur lorsque la boule de caoutchouc est extraite d'entre tes mâchoires.
O loren! Si tu savais combien j'ai envie d'embrasser ces yeux, de baiser cette bouche, de lécher ces larmes et cette salive... le sel sur ta peau.
Mais il est trop tôt. Le temps n'est pas aux plaisirs mais aux châtiments.
Châtiment qu'appelle ton évanouissement d'hier soir, le collant et ... ta bouche desséchée.
"Tu as soif n'est-ce pas ? De l'eau pour l'esclave."
Dominique s'approche, te tend une bouteille. Une grande. D'un litre et demi. Eau de source ... Qu'importe.
Tu es rassurée. Bien qu'à genou tu as l'impression d'être de nouveau en territoire connu. Je le vois dans tes yeux.
Tu portes la bouteille à tes lèvres. Elles s'arrondissent, enveloppent le goulot.
A regarder les yeux de Dominique, je sais qu'il pense à la même chose.
Je le fusille du regard. Il comprend qu'il devra attendre lui aussi.
Tu as fini. Tu rends la bouteille aux trois-quarts pleine. Indécise.
Mes paupières forment un Non muet tandis que je murmure "encore".
Tu ne comprends pas tout de suite. Tu me regardes. j'acquiesce, "encore".
La bouteille dans ta main tendue, tu regardes Dominique. Il a une autre bouteille prête.
"Madame, je ...."
De la main j'arrête la cravache de Dominique.
"Elle ne sait pas encore qu'elle n'a pas le droit de parler sans autorisation.
Loren, esclave loren. Pour l'instant je te donne l'autorisation de boire. Autorisation qui est un ordre.
Voilà ce qu'il en est.
Dominique, ses poignets. Les bracelets de cuir. Mains dans le dos."
Dominique s'exécute. Tu es de nouveau attachée.
"Tu vas boire ces deux bouteilles.  Tu vas les boire parce que je t'en donne l'ordre. Tu vas les boire parce que tu n'as pas fait pipi depuis hier soir. Que ta vessie va te sembler prête à éclater. 
Dominique et moi allons prendre notre petit déjeuner.  Quand tu n'en pourras plus, tu pourras transgresser la consigne de silence, demander la permission de te soulager.
Tu vois la cuvette près de la cheminée ? C'est ta gamelle à tout faire.
Bien entendu tu seras punie pour avoir parlé sans autorisation. Bien entendu tu seras punie pour te conduire comme une jeune chienne incontinente.
Et maintenant bois. A toi Dominique.
Force cette jolie bouche avec le goulot de ces bouteilles."

(Madame Agnès)


Je suis attachée, maintenue ouverte par des sangles de cuir qui tiennent mes bras, mes cuisses au-dessus des genoux et mes chevilles . Je ne peux que secouer ma tête dans toutes les directions car une très large ceinture me scie l'estomac m'immobilisant totalement .
Je transpire ma jouissance par tous les orifices de mon corps martyrisé . Agnès, mon amante maîtresse s'est affublée d'un gros dildo harnais et me pilonne inlassablement tout en tirant dans le rythme de son va-et-vient sur la fine chaîne qui relie les anneaux d'argent de mes tétons percés .
Et je jouis, je jouis à n'en plus pouvoir, je hurle dans mon bâillon des demandes vaines, mon corps s'élève vers le sublime et.... 
"debout esclave. Madame t'attends" .
Je rêvais .
" Aie !  les muscles de mes jambes sont engourdis " . Un homme me dirige de la voix et du geste, qui est-il ? 
Un employé sûrement . Ne pas désobéir surtout ! J'ai une soif terrible, je crois bien que je n'ai plus de salive, peut-être pourrai je obtenir une douche et un café car je me sens toute poisseuse de mes larmes, de ma sueur et ma salive a coulé sur ma poitrine. Je le perçois, ça colle un peu ? ?
Rien de tout cela, je me retrouve agenouillée forcée de boire plus de deux litres d'eau après avoir été bousculée dans une sorte de couloir glacial et presque violée .
Quand je pense au mot viol, si je ne voulais rien de tout cela il fallait rester sagement prés de mon doux époux 
( loren, tu cherches, tu veux connaître, et bien tu trouves ) .
Le goulot de la première bouteille force mes lèvres, la barrière de mes dents et s'insinue à l'orée de ma gorge pour déverser ses torrents cristallins . 
J'avale du mieux que je peux, je hais l'employé, tiens une idée, je lui en recrache une bonne bolée
sur le bas de son pantalon et sur ses chaussures .
Mauvaise idée, la gifle que je prends manque de me faire basculer sur le coté, les larmes reviennent, 
" plus jamais c'truc la " dit-il .
Je hoche la tête soumise et reprends malgré moi l'ingurgitation ;
"Dominique l'employé" : Je te hais ! Je vais avoir un bleu, je te hais .
Moitié de deuxième bouteille, je n'avale plus, une pause a lieu, toujours à genoux, et ça repart tant bien que mal, plutôt mal, au ventre d'ailleurs, j'arrive à terminer mon épreuve (on me fait cadeau du fond de la bouteille tu parles d'un cadeau . Je te hais Dominique "domi-nique"  je
souris, contente de mon jeu de mot ).
Par méfiance je garde la tête basse faisant mine de fixer le sol alors que mes yeux parcourent la pièce par en dessous .
Les prémices de la tension que devra supporter ma vessie commencent à se faire sentir .
 " Maîtresse s'il vous plais " point de réponse, "
Maîtresse Agnès je vous en prie " , je lève les yeux et croise votre regard que je soutiens un instant

(esclave loren))


Et bien, tu les as bues ces bouteilles ! Te voilà remplie.
Insolente pourtant. Ce tu as fait, Dominique te le fera payer à un moment ou à un autre...
Je ris en moi même... Je sais quand... Bientôt !
Dominique que tu prends j'en suis sur, pour un employé, un domestique. Si tu savais ! Il faudra que je te parle de certaines choses.
Le thé est délicieux. Le gâteau aussi. Décidément j'ai eu raison d'acheter cette lola. Elle a un don merveilleux pour les plaisirs de la table... Et d'autres. D'elle aussi, il faudra que je t'entretienne.
Je jette un regard vers ma droite. Tu es à genou. Les cuisses ouvertes. Je te vois osciller sur tes talons. Les trois litres d'eau doivent commencer à te peser. Ton ventre s'est arrondi. Un peu. Tu serrerais bien les cuisses mais tu n'oses pas. Tu fais ta sournoise. Tu observes tout, les yeux baissés. Tu es orgueilleuse. J'aime cela. Cela va être dur pour toi (pour moi aussi) mais cet orgueil je vais en faire une qualité.
Quand je t'aurais apprivoisée. Quand je t'aurais dressée.

Ca y est. 
"Maîtresse s'il vous plaît " Je fais semblant de ne rien entendre.
Dominique, le nez dans le Courrier international a entendu lui aussi. Ses paupières se plissent, sourient.
Une deuxième fois. Tiens on me prie. Je me tourne. Je te regarde. Dans les yeux. Tu ne les baisses pas hein !
De l'index, je te fais signe d'approcher. Tu avances à genoux. Bien. 
"Debout loren. Fais toi voir.... snifff. Tu sens l'esclave mal lavée."
Je pose ma main sur ta cuisse. J'en trace les contours. 
Maintenant ma main repose à plat sur ton ventre. Je le sens crispé. Dur. Je fais glisser ma main vers ton pubis. Je m'accroche un peu dans le collant effiloché. Ma main trouve la dentelle du string. 
Il faudra que l'on t'épile d'ailleurs. Entièrement.
Petite aguicheuse. La microscopique culotte doit te scier le minou maintenant. Je tire dessus. Un peu. La fine lanière te pénètre. Tu frémis. Tes cuisses se serrent involontairement. Je glisse un doigt sous l'empiècement. Oh la la ! Tu trembles ! Trop envie ?
Je referme ma main sur la dentelle... Je te tiens par la culotte.
"Tu veux quelque chose esclave loren?
Chuuuttt! Tais toi. Je sais ce que tu veux.
Voilà ce que tu va faire.
Tu as fâché mon ami Dominique tout à l'heure. Ses chaussures sont souillées. Mon tapis aussi d'ailleurs. Mais l'important c'est ton insolence.
Tu es pleine ? Tu veux te vider ?
Demandes à Dominique. Qu'il t'accorde la permission.
Moi je ne sais pas s'il va te pardonner pour tout à l'heure.
Il faut peut être que tu lui fasse un petit cadeau, une offrande ?
Une offrande d'esclave de plaisir. Hmmmm ?
Tu l'aimes bien Dominique n'est ce pas ?" Je souris en disant cela.
Je te vois froncer les sourcils. J'ai vu tout à l'heure tes regards.
Alors va, esclave. Va quémander un pardon.  Va implorer une permission.
Et je veux t'entendre. Distinctement.

(Madame Agnès)


J'ai compris la leçon, point de fioritures, je ne suis pas en mesure en ce moment de tergiverser ...
Je regarde Dominique, mon regard ne cache rien de mes sentiments, je sais ce que je dois faire, j'ai vu l'envie de cet homme lorsque j'ai ouvert ma bouche pour saisir entre mes lèvres le goulot de la bouteille .
Son désir était tellement fort qu'il en était presque palpable .
Je m'approche de lui, ou plutôt devrais-je dire je rampe vers lui sur les genoux .
Mon ventre commence à me faire vraiment mal, la tension s'accroît au fil du temps, il faut que je me dépêche, je connais le remède à ma souffrance .
Je décide de jouer sur lui de mon pouvoir de séduction, je semble l'admirer, je lui fais mes yeux de biche apeurée et m'approche tout contre lui. Il ne me repousse pas, je m'insinue entre ses jambes que j'écarte doucement et pose ma tête sur sa cuisse. Je redresse mon visage et fais la moue en clignant des cils tout en passant la langue sur ma lèvre supérieure .
Accrochant mes bras par derrière il m'ôte les menottes .
Le regard qu'il me jette en dit long sur sa libido présente, je sais que j'ai gagné cette manche .
Aiiiie....une lance me pique l'estomac, ou plutôt la vessie, enfin je ne sais pas, toujours est-il que mon envie de me libérer devient un besoin urgent, il faut que je m'active, je ne supporterais pas la honte si je me lâchais bêtement au beau milieu de ce salon .
Mes mains saisissent délicatement sa boutonnière et dégrafent un à un ses boutons de métal .
Je masse quelques instants son sexe que je sens sous mes doigts durcir de plus en plus .
C'est un engin d'une taille impressionnante que j'extirpe de sa gangue de coton. Dominique remonte dans mon estime, j'adore la fellation et suis très douée à cette pratique ( bonne pipeuse dixit mes ex )...
Je caresse son gland du bout de ma langue puis l'enfourne en entier passant ce même gland derrière ma luette (étonnant non, mais réel ! ) , j'alterne ce mouvement assez longtemps, son sexe vibre .
Le pénis de Dominique est vraiment très gros, j'ai du mal à l'avaler complètement alors de temps en temps je le ressort et titille le trou du gland et essaye d'y enfoncer la pointe de ma langue puis absorbe juste ce gland  et procède à une succion extrêmement forte .
Je l'enfourne à fond, ses couilles que je pétris délicatement venant buter contre mon menton .
Ce mouvement renouvelé, telle une marée emporte notre "ami " Dominique au sommet d'une jouissance qu'il ne croyait pas pouvoir obtenir de moi de cette manière .
En gémissant doucement il éjacule un flot épais que j'avale consciencieusement ( comme si j'avais encore soif ) .
Lui laissant à peine reprendre ses esprits, je suis à peu prêt sure que ce fut la plus belle et plus rapide pipe de sa vie, je le supplie de me laisser me soulager :
M' autorisez vous Monsieur à vider ma vessie ? 
Un signe de tête et un mot, un seul, celui que j'attendais : VAS ! 
Rapidement je rampe vers la cheminée, me saisis de la cuvette tant désirée et me vide sans honte devant les yeux sidérés de ma Maîtresse qui se demande encore comment j'ai pus faire abdiquer si rapidement Dominique .
Si tu savais Maîtresse .....

(esclave loren)















 
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Textes de Loren et Agnès. Images de Agnès